tag:blogger.com,1999:blog-6044833256359320244.post8735472674789897086..comments2023-12-31T14:29:57.115-05:00Comments on LES CLAPOTIS D'UN YOYO II: De la scène à la littérature...Dario Larouchehttp://www.blogger.com/profile/09288227909672570718noreply@blogger.comBlogger1125tag:blogger.com,1999:blog-6044833256359320244.post-10121865529941262602009-09-04T09:05:11.775-04:002009-09-04T09:05:11.775-04:00En effet, combien de « relectures », de « dépoussi...En effet, combien de « relectures », de « dépoussiérages », et autres « rajeunissements » servent d’alibi pour nous faire croire que le metteur en scène a réussi à retourner aux sources de l’œuvre.<br />J’aime dire les vers d’un rôle classique, et même, j’aime les apprendre, c’est plus facile, plus agréable, plus gratifiant peut-être. Mais je n’aime pas que l’on essais de confondre modernité d’un texte avec modernité d’une mise en scène.<br />C’est un peu le lieu commun de la publicité : « Le spectacle de monsieur Untel montre d’une façon éclatante la grande modernité de l’œuvre de Corneille. » <br />Il y a dans les textes classiques des choses intemporelles et qui parlent au public d’aujourd’hui, mais en effet, nous ne saurons probablement jamais qu’elles étaient les intentions réelles de leurs auteurs et encore moins l’accueil que leur réservait ce public disparu à jamais.L U Cnoreply@blogger.com