D'ailleurs...tant qu'à y être, à propos du «mot de Cambronne» (extrait de la source wikipédienne):
Selon une légende très populaire, commandant le dernier carré de la Vieille Garde à Waterloo, sommé de se rendre par le général britannique Colville, Cambronne aurait répondu : « La garde meurt mais ne se rend pas ! » Puis, devant l'insistance du Britannique, il fait une réponse aussi énergique que concise, aujourd'hui connue comme le « mot de Cambronne » qu'il nia cependant toute sa vie avoir faite: « Merde ! »
Soigné par Mary Osburn, une infirmière d'origine écossaise, durant sa captivité, Cambronne l'épousa, et lui aurait alors juré ne pas être l'auteur de cette réplique. Ce qui lui aurait valu de recevoir une montre en cadeau.
Cette grossièreté héroïque a inspiré une pièce à Sacha Guitry : Le Mot de Cambronne. Comme elle est en vers et que le mot en question ne possède qu'une seule rime (« perde »), l'oreille du spectateur est évidemment aux aguets.
Et comme le mot est censé porter chance à celui à qui on le dit, Tristan Bernard a eu cette constatation désabusée :
Cambronne, on y pense avec peine,
Ne se montra pas bien français :
Crier aux ennemis le mot qui porte veine,
C'était fatalement assurer leur succès.
Bonjour Dario
RépondreSupprimerJe constate que tu n'as pas pu retrouver ce pan de ta vie que tu as perdu. Enfin! tu vas ouvrir une autre porte et qui sait, elle te mènera peut-être encore plus loin.
Pour toi aussi c'est jour de première alors
MERDE
HÉLÈNE