Suite à la lecture du 108ième numéro d'Alternatives théâtrales (et d'un article sur Jean-François Sivadier où il était en partie question de ce sujet), je me suis mis à réfléchir à la définition de ce que devrait être une parfaite dynamique de plateau peut être assez simple dans son énonciation... tout en étant un projet de longue haleine pour qui tente d'y parvenir.
Si l'on prend le graphique illustrant ce billet et qu'on le «lit» dans le sens contraire aux aiguilles d'une monde, il faut que l'écrit se prolonge dans le corps, que le corps se prolonge dans la scène et que la scène se prolonge dans l'écrit.
Puis il faut relire le même graphique... mais dans l'autre sens pour que l'écrit se prolonge dans la scène, que la scène se prolonge dans le corps et que le corps se prolonge dans l'écrit.
Il s'agit ni plus ni moins que d'une symbiose scénique (et essentielles) entre les trois principaux éléments théâtraux (tous les autres - lumières, son, costumes, décors, etc. - pouvant s'inclure dans l'un et/ou l'autre).
Maintenant, qu'est-ce que cela signifie concrètement? C'est là que ça achoppe... et c'est là que s'ouvre la (ma) recherche-création...