jeudi 19 avril 2012

Triumvirat d'une parfaite dynamique du plateau


Suite à la lecture du 108ième numéro d'Alternatives théâtrales (et d'un article sur Jean-François Sivadier où il était en partie question de ce sujet), je me suis mis à réfléchir à la définition de ce que devrait être une parfaite dynamique de plateau peut être assez simple dans son énonciation... tout en étant un projet de longue haleine pour qui tente d'y parvenir.

Si l'on prend le graphique illustrant ce billet et qu'on le «lit» dans le sens contraire aux aiguilles d'une monde, il faut que l'écrit se prolonge dans le corps, que le corps se prolonge dans la scène et que la scène se prolonge dans l'écrit

Puis il faut relire le même graphique... mais dans l'autre sens pour que l'écrit se prolonge dans la scène, que la scène se prolonge dans le corps et que le corps se prolonge dans l'écrit.

Il s'agit ni plus ni moins que d'une symbiose scénique (et essentielles) entre les trois principaux éléments théâtraux (tous les autres - lumières, son, costumes, décors, etc. - pouvant s'inclure dans l'un et/ou l'autre).

Maintenant, qu'est-ce que cela signifie concrètement? C'est là que ça achoppe... et c'est là que s'ouvre la (ma) recherche-création...

Merde!

Ce soir est un grand soir dans notre petit milieu alors que deux productions prennent l'affiche simultanément. Pour tous ceux qui monteront sur scène (si tant est qu'il y en ait une!)...

... pour les étudiants qui se lanceront dans Morceaux de solitude(s).... soit Camille, Fanny, Julie B., Heidie, Cloé, Marie-Christine, Audrey, Jessica, Sébastien, Julie T., Patricia, Robert, Leïna, Michael...

... pour tous les comédiens du Faux Coffre qui entameront Une parade avec Gille... soit Éric C., Sara, Eric R., Christian, Maude, Patrice, Pierre, Éric L., Martin...

... de même que pour tous les collaborateurs de ces deux trucs...

MERDE!