Aujourd'hui, au Théâtre 100 Masques, nous avons franchi un grand pas, structurellement parlant: le costumier
À mon arrivée comme directeur de cet organisme, j'ai également pris possession (façon de parler) du costumier de celui-ci... costumier qui appartenait auparavant, en partie (car le Théâtre 100 Masques y avait ajouter beaucoup de matériel) à l'Atelier de Théâtre l'Eau Vive qui lui-même le tenait du temps du Frou-Frou. Ainsi donc, plus de vingt années s'accumulaient dans ce petit local situé au sous-sol du Centre des Arts. À mon arrivée, dis-je, j'avais sur le bras un local encombré et, osons le mot, dans un état fort pitoyable... à la limite de l'insalubrité.
L'un des premiers dossiers qui échut sur mon bureau fut donc le grand ménage de cet endroit. Sarah Bernard, Jessica B. Pinard et moi, armés de gants et de masques, avons passé une semaine dans ce bordel pour lui redonner un peu de lustre. À l'époque, le 22 août 2007, j'écrivais à mon conseil d'administration:
Juste quelques lignes pour vous dire que le ménage du costumier va bon train... J'ai commencé hier matin... les filles sont venues me retrouver hier pm... on a repris ce matin Sarah et moi... pm tout le monde. Bref, ce soir, on a «fini»... tous les costumes sont accrochés sur des cintres dans les racks... restent à les trier éventuellement... Tout est rangé, trié, classé... et on a jeté tout ce qui était sale... vieux, brisé ou indéfinissable... tout est encore dans le costumier... empilé sur le divan près des deux portes qui n'ouvrent pas... Des gens de la Ville vont venir ramasser du mobilier que j'ai demandé à faire sortir de là-dedans (bureaux, chaises, étagères) pour libérer de l'espace. Ce n'est franchement pas un luxe.
Ce jour-là, Sarah a pris une photo du costumier avant que le tout ne parte dans un container amené sur le terrain du Centre spécialement pour nous:
À l'automne dernier, nous nous sommes lancés dans la phase II de ce grand ménage: tous les costumes (enfin, il nous en reste un peu), tous les accessoires vestimentaires, tous les objets, tous les tissus ont été lavés (le nombre de lavage et de brassées de linge est, par ailleurs, fort élevé!). Les armoires ont été repeintes... de même que les racks à vêtements. Tout a été replacé dans le costumier et le plancher sera, sous peu, décapé et ciré... ce qui, après coup, nous donne un local potable, propre qui pourra maintenant être utilisé dans sa fonction première: être un atelier voué au travail théâtral!
L'un des premiers dossiers qui échut sur mon bureau fut donc le grand ménage de cet endroit. Sarah Bernard, Jessica B. Pinard et moi, armés de gants et de masques, avons passé une semaine dans ce bordel pour lui redonner un peu de lustre. À l'époque, le 22 août 2007, j'écrivais à mon conseil d'administration:
Juste quelques lignes pour vous dire que le ménage du costumier va bon train... J'ai commencé hier matin... les filles sont venues me retrouver hier pm... on a repris ce matin Sarah et moi... pm tout le monde. Bref, ce soir, on a «fini»... tous les costumes sont accrochés sur des cintres dans les racks... restent à les trier éventuellement... Tout est rangé, trié, classé... et on a jeté tout ce qui était sale... vieux, brisé ou indéfinissable... tout est encore dans le costumier... empilé sur le divan près des deux portes qui n'ouvrent pas... Des gens de la Ville vont venir ramasser du mobilier que j'ai demandé à faire sortir de là-dedans (bureaux, chaises, étagères) pour libérer de l'espace. Ce n'est franchement pas un luxe.
Ce jour-là, Sarah a pris une photo du costumier avant que le tout ne parte dans un container amené sur le terrain du Centre spécialement pour nous:
À l'automne dernier, nous nous sommes lancés dans la phase II de ce grand ménage: tous les costumes (enfin, il nous en reste un peu), tous les accessoires vestimentaires, tous les objets, tous les tissus ont été lavés (le nombre de lavage et de brassées de linge est, par ailleurs, fort élevé!). Les armoires ont été repeintes... de même que les racks à vêtements. Tout a été replacé dans le costumier et le plancher sera, sous peu, décapé et ciré... ce qui, après coup, nous donne un local potable, propre qui pourra maintenant être utilisé dans sa fonction première: être un atelier voué au travail théâtral!