Décidément, je ne me lasse pas de ces morceaux de littératures journalistiques qui se déchaînent contre le théâtre! J'en aime particulièrement la finesse du langage qui détonne avec la charge violente! J'en goûte fort la rhétorique judéo-chrétienne exubérante et virulente!
Comme dans cette lettre ouverte d'un spectateur scandalisé, frémissant d'horreur et de dégoût, publiée dans La Presse du 24 septembre 1920: