samedi 5 juin 2021

Quand le théâtre blesse les règles de la convenance

Je l'ai déjà dit et je me répète encore une fois: j'affectionne particulièrement la période théâtrale - très souvent occultée parce que peu structurée, dramaturgiquement pauvre, mouvante, sans oeuvre majeure, sans véritable trace - qui couvre la fin du XIXième et le début du 20ième siècle (1850-1930). 

Parce que le théâtre y était art populaire

Parce que le théâtre foisonnait de mélodrames obscurs en spectacles burlesques.

Parce que le théâtre était artisanal et se faisait (surtout au début du XXième siècle) à la chaîne.

Et surtout, parce que le théâtre y était (très) souvent, via les journaux de l'époque, enjeu spirituel et moral!

Ce matin, voici un autre retour dans le temps... en ce 17 mars 1880... à la page 2 du Courrier du Canada - journal des intérêts canadiens: