jeudi 12 février 2009

À quoi se résume l'espérance dans la vie d'un batracien?

Demain soir - soit vendredi le 13 février - à 22h, je me commettrai au Patro de Jonquière, en tant que maître de jeu pour un spectacle d'improvisation. Cinq comédiens (Émilie Bouchard-Jean, Frédéric Jean, Jérémie Desbiens, Patrick Simard et Marie-Ève Lemire) monteront sur scène (si tant est qu'il y ait une scène...) après les matchs d'improvisations de la LIENE... et attendront mes indications vers 21h30... Par la suite, ils auront environ une demie-heure pour se préparer.

Le principe: j'impose un thème, un style, un fonctionnement, des contraintes ou n'importe quoi d'autres... bref, un cadre dans lequel ceux-ci devront improviser pendant une heure! Une fort bonne gymnastique pour des comédiens habitués au travail conventionnel...

Mon thème: À quoi se résume l'espérance dans la vie d'un batracien? Un théâtre improvisé fort existentiel...

Donc, pour nous voir à l'action, il faut être là à 22h, au Patro (je crois qu'il en coûte 2$ pour entrer...).

Au revoir...

Crédit photo: Brigitte Soucy-Ferret

Jérémie Desbiens prépare son départ saguenéen pour rejoindre la métropole... du moins, s'en approcher... car il a été accepté au Cégep de Saint-Hyacinthe... C'est donc un retour aux études (collégiales!) pour lui dans un programme technique en interprétation théâtrale.

Dans les dernières années, on a pu le voir comme danseur dans Ecce Mundo... et comme acteur dans, entres autres, Tordus, des gens biens des gens bons (son projet de fin de bacc.), L'Orchestre sans dessus dessous (OSSLSJ), Les Monstres de l'orgueil (TCM), KAPOS B12 730 (CRI), Nono (TCM) et dernièrement dans Parents et amis sont invités à y assister (CRI)...

Peut-être ce nouveau chapitre comblera-t-il ses doutes, ses questionnements, ses impressions de manques, etc...
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Toujours en attente en ce qui concerne les Alexandre Larouche, Émilie Bouchard-Jean et Valérie Tremblay qui font, eux aussi, des demandes pour d'autres écoles...

Il y avait longtemps qu'on avait quitté la région en si grand nombre... Outre le fait qu'il est normal de vouloir se perfectionner, de voir autre chose, de quitter pour d'autres cieux, cela dénote peut-être aussi un malaise intrinsèque quand on arrive dans le milieu théâtral d'ici... Sur la place qu'on peut y occuper... Sur son professionalisme... Faudrait voir...