dimanche 27 février 2022
Au théâtre, cette semaine! [Du 27 février au 5 mars 2022]
samedi 26 février 2022
La triste liquidation des avoirs de Rachel
mardi 22 février 2022
Un nouvel outil de promotion!
mardi 15 février 2022
Quand la réclame se mêle au Grand Guignol!
lundi 14 février 2022
Non mais pourquoi des acteurs?
dimanche 13 février 2022
Au théâtre, cette semaine! [Du 13 au 19 février 2022]
Cette semaine, je n'ai qu'une activité sur mon écran radar... ce qui ne signifie par pour autant qu'il n'y ait rien d'autre.
samedi 12 février 2022
Réminiscence nostalgique
vendredi 11 février 2022
Ouche!
Erwin Piscator est l'une des grandes figures de la mise en scène de la première moitié du vingtième siècle. Sa pratique théâtrale se situe aux limites du théâtre politique et de propagande, avec une forte introduction, en scène, des nouvelles technologies de l'époques (entendre ici la radio, la projection, le cinéma).
Il faut aussi rappeler, pour bien comprendre le commentaire qui suivra, que l'Allemagne de cette époque (on parle des années 1915-1930) est celle des fameux cabarets (le cabaret berlinois est presque devenu mythique) et des revues (ces spectacles présentant des successions de numéros - sketchs, chants, poésies -construits sur l'actualité récente).
Bref, à l'avènement de Piscator et de ses spectacles-manifestes hybrides joués souvent par des professionnels mésadaptés à ce style ou encore par des non professionnels, les critiques théâtrales se divisent. Certains crient au génie... alors que d'autres se feront plus virulents... comme ce petit commentaire acerbe enfoui dans un compte-rendu du spectacle Hop là! Nous vivons! publié - si je comprends bien - en 1927 dans le Tägliche Rundshau:
mercredi 9 février 2022
Que dirait Piscator aujourd'hui?
mardi 8 février 2022
lundi 7 février 2022
Pisse-vinaigre théâtral
dimanche 6 février 2022
Au théâtre, cette semaine! [Du 6 au 12 février 2022]
samedi 5 février 2022
Théâtre français et nationalisme
jeudi 3 février 2022
De l'importance de voir ce que font les autres...
Je suis plongé, présentement, dans Le gai savoir de l'acteur de Dario Fo, publié en 1990 chez L'Arche. Il y avait longtemps que je voulais le lire et avec la prochaine production du Théâtre 100 Masques pour l'été 2022 (qui s'inspirera du jeu masqué et de la commedia dell'arte), c'était devenu un incontournable.
Mais outre les nombreuses (et intéressantes) pages sur la pratique, il y a aussi de très nombreux passages sur la formation, sur cet apprentissage du théâtre qui ne s'arrête jamais. Dont celui-ci, sur l'importance de voir ce que font les autres pour apprendre d'eux:
[...] La pratique, au théâtre, s'acquiert non seulement en jouant soi-même, mais aussi en allant voir comment font les autres, surtout les hommes de théâtre qui ont beaucoup d'expérience en plus du talent. J'ai personnellement acquis les bases du métier en allant me poster, tous les soirs, pendant des mois, dans les coulisses pour épier les acteurs les plus habiles des troupes de varietà où j'ai débuté. Je m'adresse surtout aux jeunes acteurs: apprenez en lorgnant au besoin par la coulisse, même si le directeur de scène s'énerve, même s'il vous éjecte. Restez là, observez l'acteur le plus professionnel, le vieux routier. Tâchez de découvrir comment il fait, comment il se sort des difficultés, comment il se démène, comment il «arrange» le texte selon la réponse du public, comment il impose le rythme, comment il place les pauses et les contretemps. Croyez-moi, c'est la plus grande école de théâtre qu'on puisse fréquenter.
Je crois que cela vaut autant pour le metteur en scène que pour le concepteur... tant jeune que vieux.
mercredi 2 février 2022
Quand le sou du pauvre ne fait pas l'affaire...
mardi 1 février 2022
Le sou du pauvre
En 1915, la Cité (que je suppose être Montréal)bien qu'il semble que la pratique se se soit déployée dans d'autres villes) impose pour le bénéfice de l'Assistance publique, une taxe d'un sou - le sou du pauvre - par billet vendu dans les lieux d'amusements, comme les théâtres et les cinémas. Voici ce qu'en dit La Presse du 24 mars 1915:
Plus éclairant encore cet article paru dans Montréal qui chante, en mai 1915:
Cette pratique perdurera un bon bout de temps si je me fie aux articles où il en est encore question au milieu des années 30 et même dans quelques articles des années 50!
Et tout ça n'est pas passé comme une lettre à la poste! Loin s'en faut!
En fait, je ne sais pas comment tout ça s'est terminé... Recherches à venir!