dimanche 14 mars 2021

Une histoire saguenéenne de «La Cantatrice chauve»

Le Théâtre 100 Masques présentera, cet été, La Cantatrice chauve d'Eugène Ionesco. Cette pièce (écrite en 1950) est probablement l'un des plus grands classiques du XXième siècle... assurément l'une des œuvres les plus jouées. 

La région n'est pas en reste et à vue, au cours des décennies, plusieurs productions de ce texte. En voici quelques-unes glanées dans les archives de BaNQ (et je fais abstraction ici de plusieurs montées dans un cadre académiques).

Il y a eu celle de La Marmite (Le Lingot, 11 novembre 1966), mise en scène par Ghislain Bouchard... en tournée régionale de Jonquière à Chicoutimi!:

Il y a eu celle du Théâtre Populaire d'Alma (Le Soleil du SLSJ, 21 janvier 1970), mise en scène par nul autre que Michel Côté (enfin, j'imagine que c'est le grand comédien d'aujourd'hui):


Il y a eu celle des Têtes Heureuses (Le Quotidien, 3 décembre 1985) à la fameuse Maison Carrée, mise en scène par Jean-Pierre Bergeron et dans laquelle jouait notamment Hélène Bergeron et Richard Desgagné:


Il y a eu celle de la troupe Excès-Taira (Le Quotidien, 11 juillet 1992) qui animait le théâtre d'été de St-Bruno, et dans laquelle jouait notamment Monique Gauvin:


Et il y  a eu celle de la toute nouvelle troupe de théâtre de l'UQAC, Mine de rien, (Le Quotidien, 27 novembre 2006) pour laquelle je signais (eh oui! j'en serai à ma seconde aventure ionescienne!) la première mise en scène...