Louis Fréchette, le premier grand écrivain canadien-français (poète et dramaturge), était un grand admirateur de Sarah Bernhardt. Et au fil des visites de la Voix d'or, il a même pu tisser avec elle, quelques liens... au point où elle lui aurait commandé une oeuvre - Véronica - qu'elle ne jouera toutefois pas.
En 1896, Fréchette fait donc paraître, dans Le Monde (et repris ensuite, tout au long de son existence, dans différentes publications), un poème exaltant l'actrice: