Petit à petit, la production du théâtre d'été prend forme. Les sept premières scènes ont fait l'objet d'un débroussaillage et d'une mise en place sommaire... et dès lors, un premier constat peut se poser: c'est vraiment très drôle!
Le sujet d'une comédie, selon Véronique Sternberg (dans La poétique de la comédie) doit être une histoire génératrice de situations comiques et cette pièce de Labiche tient la définition: elle est construite sur une série de quiproquos qui mènent jusqu'à l'absurde. Et, partie prenante de ce qui s'appelle le théâtre du boulevard, elle en porte aussi une caractéristique essentielle, à savoir que par le langage, tout est verbalisé (psychologie, action, préoccupations) donnant lieu à une série de mots d'esprit.
Le travail exige cependant des comédiens une précision accrue et une justesse dans l'exécution des commandes. Une rigueur rendue nécessaire par le jeu physique qui doit découler des nombreux jeux de scènes et par l'exiguïté de l'aire de jeu. Le hic, c'est que le travail de mise en scène ne peut s'effectuer que de soir... après une journée de travail. Une contrainte qui joue malheureusement sur l'attention et la capacité d'assimiler des interprètes.
Esthétiquement, cette production prend corps. Maintenant que la scénographie est conçue et en voie de réalisation, nous nous attaquons aux costumes.
Le travail exige cependant des comédiens une précision accrue et une justesse dans l'exécution des commandes. Une rigueur rendue nécessaire par le jeu physique qui doit découler des nombreux jeux de scènes et par l'exiguïté de l'aire de jeu. Le hic, c'est que le travail de mise en scène ne peut s'effectuer que de soir... après une journée de travail. Une contrainte qui joue malheureusement sur l'attention et la capacité d'assimiler des interprètes.
Esthétiquement, cette production prend corps. Maintenant que la scénographie est conçue et en voie de réalisation, nous nous attaquons aux costumes.