La langue parlée sur nos théâtres au Québec a, de tout temps, été un fort bon sujet de débats et de thèses. De là, nous pouvons tirer un long fil dramaturgique qui va du français normatif (avec l'accent parisien) du XIXième siècle au jusqu'au joual de Tremblay en passant par tous les niveaux de langues populaires.
Quelle langue donnerons-nous à nos personnages? Quelle langue nous représentera le mieux? Parfois, les échanges furent acrimonieux!
L'Avenir du Nord - seul journal du district de Terrebonne publie, le vendredi 8 octobre 1937, un long (mais fort intéressant) papier de Louvigny de Montigny (petit détour ici, par sa biographie wikipédienne):