La générale est faite.
Après un contrariant contretemps cet avant-midi (où nous avons dû partager la salle avec les organisatrices d'un dîner dans le même lieu), les comédiens ont pu enfin monter en scène pour faire un dernier filage... le pire de tous.
Le pire parce que maintenant, il manque le principal ingrédient inhérent à ce type de spectacles: les spectateurs. Ce qui donne un enchaînement toujours un peu plat, terne et avec une folie qui, jour après jour, a laissé sa place à un certain mécanisme qui ne demande que des rires venus de l'extérieur pour bien s'enflammer.
Dans l'ensemble, ça marche. Ce spectacle de Noël reste proche du cabaret festif (avec un côté bric-à-brac bien assumé!), avec ses numéros éclatés et ses personnages loufoques (personnages différents d'un numéro à l'autre). Les liens fonctionnent et nous continuons à trouver des manières d'ajouter des répliques, de préciser des actions, d'établir concrètement les scénarios.
Compte tenu du contexte de création, c'est la gestion de la technique (le son et les micros) qui pose toujours un peu de problème. Demain, le montage final de la salle viendra corriger le tout.
Après un contrariant contretemps cet avant-midi (où nous avons dû partager la salle avec les organisatrices d'un dîner dans le même lieu), les comédiens ont pu enfin monter en scène pour faire un dernier filage... le pire de tous.
Le pire parce que maintenant, il manque le principal ingrédient inhérent à ce type de spectacles: les spectateurs. Ce qui donne un enchaînement toujours un peu plat, terne et avec une folie qui, jour après jour, a laissé sa place à un certain mécanisme qui ne demande que des rires venus de l'extérieur pour bien s'enflammer.
Dans l'ensemble, ça marche. Ce spectacle de Noël reste proche du cabaret festif (avec un côté bric-à-brac bien assumé!), avec ses numéros éclatés et ses personnages loufoques (personnages différents d'un numéro à l'autre). Les liens fonctionnent et nous continuons à trouver des manières d'ajouter des répliques, de préciser des actions, d'établir concrètement les scénarios.
Compte tenu du contexte de création, c'est la gestion de la technique (le son et les micros) qui pose toujours un peu de problème. Demain, le montage final de la salle viendra corriger le tout.