Il suffit de quelques pages d'un livre d'histoire sur le théâtre québécois pour vite se rendre compte que ce dernier a une caractéristique quasi immanente... être en crise: que ce soit une crise éthique ou religieuse, une crise de répertoire, une crise financière, une crise structurelle, une crise artistique, une crise identitaire, une crise de succession et j'en passe.
Au cours des années '30, Louis Pelland, journaliste/chroniqueur culturel au journal La Renaissance, en est un chantre acharné (j'en ai déjà parlé ici). Comme dans cet exemple, du 30 novembre 1935:
Avec Jean Béraud, il fait partie de ce petit groupe de penseurs qui feront bouger les choses.