L'équilibre du plateau...
L'équilibre est, pour moi, une impression que tout se tient, que tout est cohérent, que tout est imbriqué afin de se maintenir.
C'est aussi l'impression qu'il n'y a aucun «trou» sur scène pendant la représentation, que tout y est habité, que d'un seul regard le spectateur puisse y ressentir une plénitude scénique, un épanouissement architectural.
C'est l'impression qu'en changeant un seul paramètre, l'unicité serait brisée, modifiée, bref que tout y est par nécessité... que ça ne pouvait finalement être autrement.
C'est l'impression d'une justesse dans la construction, d'une rigueur: tout répond effectivement à des critères de placement invisibles et efficaces, à des règles concrètes, et que rien ne peut et ne semble y déroger.
Et cet équilibre, à quoi tient-il? Au rythme, à la précision, au dessin de la scène, à la mise en place, aux groupements humains et d'objets dans l'espace.
C'est aussi l'impression qu'il n'y a aucun «trou» sur scène pendant la représentation, que tout y est habité, que d'un seul regard le spectateur puisse y ressentir une plénitude scénique, un épanouissement architectural.
C'est l'impression qu'en changeant un seul paramètre, l'unicité serait brisée, modifiée, bref que tout y est par nécessité... que ça ne pouvait finalement être autrement.
C'est l'impression d'une justesse dans la construction, d'une rigueur: tout répond effectivement à des critères de placement invisibles et efficaces, à des règles concrètes, et que rien ne peut et ne semble y déroger.
Et cet équilibre, à quoi tient-il? Au rythme, à la précision, au dessin de la scène, à la mise en place, aux groupements humains et d'objets dans l'espace.