Hier soir avait lieu, au Côté-Cour de Jonquière, un match d'improvisation politique organisé par Alexandre Banville et l’Association Générale des Étudiantes et Étudiants du Cégep de Jonquière (AGEECJ) Politique car, parmi les joueurs habituels de la Ligue d'Improvisation Étudiante de Jonquière (LIEJ), quatre invités de marque: Sylvain Gaudreault (député de Jonquière), Julien Gagnon (président de la commission jeunesse libérale), Xavier Lefebvre Boucher (président de la Fédération Étudiante Collégiale du Québec) et Alexandre Thériault-Marois (président du Comité national jeune du Parti Québécois).
Sous la surveillance de l'arbitre bien connu dans le milieu de l'improvisation jonquiérois, François Jean (frère d'Émilie Jean), les thèmes se sont succédés au fil de la soirée: Où sont mes 100 millions?, Pour ou contre la langue française, Un train entre Windsor et St-Jean-Eudes... etc.
Bien que cette formule joyeuse (et un peu marquée par le ton estudiantin) offre un cadre intéressant et prometteur, la ligne politique et les débats sont plus souvent qu'autrement relégués au second rang... après l'humour et les farces qui émaillent chacune des improvisations. Il faut dire que les joueurs habituels ne sont pas nécessairement politisés... alors que les politiciens, habiles dans les discours, se retrouvent quelques fois comme des opossums en plein centre du désert lorsqu'ils entrent en scène!
Peu d'échanges, en fait... Mais beaucoup de rires et de plaisir! Et en ce sens, en réussissant le coup de placer des politiciens en vue, impliqués, de divers horizons parmi une cohorte d'étudiants - près d'eux! - les organisateurs peuvent assurément se féliciter.Malgré tout, malgré quelques décrochages, quelques piétinements, quelques cafouillages, quelques retards de jeu, la soirée à permis de montrer la politique sous un autre jour!
Sous la surveillance de l'arbitre bien connu dans le milieu de l'improvisation jonquiérois, François Jean (frère d'Émilie Jean), les thèmes se sont succédés au fil de la soirée: Où sont mes 100 millions?, Pour ou contre la langue française, Un train entre Windsor et St-Jean-Eudes... etc.
Bien que cette formule joyeuse (et un peu marquée par le ton estudiantin) offre un cadre intéressant et prometteur, la ligne politique et les débats sont plus souvent qu'autrement relégués au second rang... après l'humour et les farces qui émaillent chacune des improvisations. Il faut dire que les joueurs habituels ne sont pas nécessairement politisés... alors que les politiciens, habiles dans les discours, se retrouvent quelques fois comme des opossums en plein centre du désert lorsqu'ils entrent en scène!
Peu d'échanges, en fait... Mais beaucoup de rires et de plaisir! Et en ce sens, en réussissant le coup de placer des politiciens en vue, impliqués, de divers horizons parmi une cohorte d'étudiants - près d'eux! - les organisateurs peuvent assurément se féliciter.Malgré tout, malgré quelques décrochages, quelques piétinements, quelques cafouillages, quelques retards de jeu, la soirée à permis de montrer la politique sous un autre jour!