Quelques activités théâtrales ponctueront cette digne semaine théâtrale. Ça va, en quelques sortes, comme suit (tout ajout sera le bienvenu!):
Lundi, mardi et mercredi (19 au 21 janvier), 18h30
Centre des arts et de la culture
Début des ateliers réguliers de l'hiver 2009 du Théâtre 100 Masques. Les enfants et les ados se pencheront pendant 13 semaines sur l'improvisation (telle que pratiquée par la L.N.I., tandis que les adultes seront en production à partir de l'un de mes textes, Les Pleureuses.
Mercredi (21 janvier), 19h
Petit Théâtre de l'UQAC
Les premiers Rendez-vous théâtre - une initiative du Théâtre C.R.I. et du Théâtre 100 Masques - réunissent les directeurs artistiques de toutes les compagnies de théâtre reconnues de la région pour une rencontre avec le public sous forme de table ronde animée par Jean-Paul Quéinnec.
Samedi (24 janvier), 20h
Auditorium-Dufour
Le T.N.M. débarque avec Le Retour d'Harold Pinter (prix nobel de littérature décédé il y a quelques semaines à peine) mis en scène par Yves Desgagné.
Terrible huis clos dans lequel s'agitent des personnages et des sentiments ambigus, dans lequel la vérité et le mensonge sont indissociables et indiscernables, la plus célèbre pièce d'Harold Pinter est une oeuvre où règnent la suspicion et la menace, où les mots s'avèrent à exercer le pouvoir, où les mots s'avèrent même être une arme de destruction massive. Nous sommes dans le Londres du milieu des années 1960. À l'époque des Beatles, des premiers films de Jane Birkin, de Twiggy et du Blow-Up d'Antonioni. Max, un ancien boucher agressif et harcelant, vit avec ses deux fils, Lenny et Joey, et avec son frère Sam, chauffeur de taxi. Un soir, alors que tout le monde dort, le troisième fils, Teddy, revient en catimini.
Terrible huis clos dans lequel s'agitent des personnages et des sentiments ambigus, dans lequel la vérité et le mensonge sont indissociables et indiscernables, la plus célèbre pièce d'Harold Pinter est une oeuvre où règnent la suspicion et la menace, où les mots s'avèrent à exercer le pouvoir, où les mots s'avèrent même être une arme de destruction massive. Nous sommes dans le Londres du milieu des années 1960. À l'époque des Beatles, des premiers films de Jane Birkin, de Twiggy et du Blow-Up d'Antonioni. Max, un ancien boucher agressif et harcelant, vit avec ses deux fils, Lenny et Joey, et avec son frère Sam, chauffeur de taxi. Un soir, alors que tout le monde dort, le troisième fils, Teddy, revient en catimini.
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Petit rappel à tous ceux qui ont vu Dragage 00 de Jean-Paul Quéinnec la semaine dernière: il est attendu, de la part des spectateurs, que ces-derniers fournissent des commentaires, des questions aux concepteurs de cet exercice...