Pauvres jeunes filles que le théâtre guette pour les asservir et leur inoculer l'immoralité et l'immodestie! Par chance, les parangons de la vertus sont là, en ce début du vingtième siècle, pour rappeler les mères (surtout!) à l'ordre en dressant un noir portrait de l'avenir de leur progéniture! En cette matière, voici la lettre de Fadette, publiée dans Notre page féminine de ce Devoir du 22 mai 1919.
Décidément, c'est à se demander - à la lecture de tous ces commentaires, articles, chroniques négatifs - comment le théâtre a pu se développer.