Il est tout de même fascinant de constater - et ce fut le cas ce matin avec les comédiens de La Défonce que nous reprendrons cet automne - à quel point la mémoire est un muscle solide... que ce soit pour le texte, le geste, le mouvement.
Après plus d'un an sans avoir retouché à cette production, nous avons fait ce matin une lecture en groupe avant que de ne passer à un exercice qui aurait pu devenir laborieux: faire la pièce en scène, sans le texte dans les mains. Des craintes, il y en avait!
Eh bien! Ce fut d'une fluidité remarquable, les mots sortant généralement facilement, le corps reprenant une routine bien ancrée dans l'espace... Presque comme si nous avions monté cette pièce il y a quelques semaines à peine. Le ton y était aussi... dans des nuances qui redemanderont à être retouchées mais qui était pourtant bien là!
Cela augure bien pour la suite des choses.
Maintenant, il faut remettre l'ouvrage sur le métier pour que nous n'assistions pas à une imitation de la production d'avril 2010 mais plutôt en sa re-création.
Eh bien! Ce fut d'une fluidité remarquable, les mots sortant généralement facilement, le corps reprenant une routine bien ancrée dans l'espace... Presque comme si nous avions monté cette pièce il y a quelques semaines à peine. Le ton y était aussi... dans des nuances qui redemanderont à être retouchées mais qui était pourtant bien là!
Cela augure bien pour la suite des choses.
Maintenant, il faut remettre l'ouvrage sur le métier pour que nous n'assistions pas à une imitation de la production d'avril 2010 mais plutôt en sa re-création.