Je vis un certain malaise ces temps-ci... et c'est celui d'être inclus dans une distribution et de passer pour un comédien (je parle ici de La Cerisaie des Têtes Heureuses).
Bien sûr, techniquement, je suis sur scène... par conséquent, je suis comédien. Mais l'épithète ne me va pas. N'est pas comédien qui veut (d'où ce que l'on peut appeler le professionalisme). Il faut un plaisir du théâtre que je n'ai pas. Il faut une rigueur au théâtre que je n'ai pas - du moins pour jouer. Il faut un talent que je n'ai pas. On ne peut tout faire et tout ne peut être fait par n'importe qui.
Je suis très près d'eux lorsque je fais de la mise en scène ou que j'écris. Pourtant, la ligne entre faire et voir faire est infranchissable... pour le moment.
Bien sûr, techniquement, je suis sur scène... par conséquent, je suis comédien. Mais l'épithète ne me va pas. N'est pas comédien qui veut (d'où ce que l'on peut appeler le professionalisme). Il faut un plaisir du théâtre que je n'ai pas. Il faut une rigueur au théâtre que je n'ai pas - du moins pour jouer. Il faut un talent que je n'ai pas. On ne peut tout faire et tout ne peut être fait par n'importe qui.
Je suis très près d'eux lorsque je fais de la mise en scène ou que j'écris. Pourtant, la ligne entre faire et voir faire est infranchissable... pour le moment.