Évolution oblige (ou érosion d'un dynamisme culturel qui arrive à la fin d'un cycle?)...
Le milieu théâtral verra partir, sous peu de bons éléments... des éléments forts... des éléments qui ont été assez présents au cours des dernières années.
Après une décennie de travail acharné et de dynamisme - dix ans de productions, d'activités, de participation à la construction d'un professionnalisme saguenéen -, un recul brutal (lucide dirait l'autre) semble devoir être pris. Un bilan s'impose pour tous: Quelles aspirations? Quelles ambitions? Quels sacrifices? Quel avenir?
Les regards bifurquent alors vers la cour du voisin...
Pour la première fois depuis longtemps, c'est une réelle vague de comédiens qui partiront, d'ici quelques mois, vers les métropoles... Combien seront-ils enfin? Deux? Trois? Quatre? Plus?
Le monde théâtral d'ici entre-t-il en hibernation? En fait, non... je ne pense pas. Disons qu'il étire ses racines pour poursuivre sa croissance...
Bonne chance à ceux qui partent... et à ceux qui restent!
Le milieu théâtral verra partir, sous peu de bons éléments... des éléments forts... des éléments qui ont été assez présents au cours des dernières années.
Après une décennie de travail acharné et de dynamisme - dix ans de productions, d'activités, de participation à la construction d'un professionnalisme saguenéen -, un recul brutal (lucide dirait l'autre) semble devoir être pris. Un bilan s'impose pour tous: Quelles aspirations? Quelles ambitions? Quels sacrifices? Quel avenir?
Les regards bifurquent alors vers la cour du voisin...
Pour la première fois depuis longtemps, c'est une réelle vague de comédiens qui partiront, d'ici quelques mois, vers les métropoles... Combien seront-ils enfin? Deux? Trois? Quatre? Plus?
Le monde théâtral d'ici entre-t-il en hibernation? En fait, non... je ne pense pas. Disons qu'il étire ses racines pour poursuivre sa croissance...
Bonne chance à ceux qui partent... et à ceux qui restent!