Maryline Renaud (Mme Weiss) dans La Noël de Gruntilda II-La Nativité
Théâtre 100 Masques, décembre 2008
Photographie: Dario Larouche
Théâtre 100 Masques, décembre 2008
Photographie: Dario Larouche
C'est ce matin que débute, par une première rencontre de travail, la production du prochain (et troisième!) spectacle de Noël du Théâtre 100 Masques, Le singulier Noël de Mme Weiss.
Sur la trame de La petite fille aux allumettes, Marilyne Renaud (l'interprète du personnage) et moi établirons et des variantes, et des numéros, et l'ordre de ceux-ci, et les possibilités des rebondissements par le biais des deux autres personnages incarnés par Jessyka Maltais-Jean (Beatrice) et Patrick Simard (le petit pauvre).
Par son pathétisme originel (Mme Weiss faisait partie de la distribution de Nono et représentait la vieille maîtresse dont on se débarrasse) et son hystérie caractérielle, le personnage permet, confrontée à la manipulation émotive, le cynisme et la mauvaise foi de l'autre vieille fille (Beatrice étant la belle-mère type de La Serva Amorosa présentée en 2004), de créer de belles situations propices aux rires et à l'ironie.
Car là est le but de ce spectacle: revoir les thèmes principaux (l'amour, la joie, le partage, la fête) et les traditions (les cartes de Noël, les cantiques, la crèche); faire de l'humour parfois (et très souvent!) noir; explorer, finalement, le dialogue entre la salle et la scène dans le rire...
Les idées commencent déjà à poindre et promettent déjà beaucoup de plaisir dans le travail!
Des nouvelles plus tard en saison...
Sur la trame de La petite fille aux allumettes, Marilyne Renaud (l'interprète du personnage) et moi établirons et des variantes, et des numéros, et l'ordre de ceux-ci, et les possibilités des rebondissements par le biais des deux autres personnages incarnés par Jessyka Maltais-Jean (Beatrice) et Patrick Simard (le petit pauvre).
Par son pathétisme originel (Mme Weiss faisait partie de la distribution de Nono et représentait la vieille maîtresse dont on se débarrasse) et son hystérie caractérielle, le personnage permet, confrontée à la manipulation émotive, le cynisme et la mauvaise foi de l'autre vieille fille (Beatrice étant la belle-mère type de La Serva Amorosa présentée en 2004), de créer de belles situations propices aux rires et à l'ironie.
Car là est le but de ce spectacle: revoir les thèmes principaux (l'amour, la joie, le partage, la fête) et les traditions (les cartes de Noël, les cantiques, la crèche); faire de l'humour parfois (et très souvent!) noir; explorer, finalement, le dialogue entre la salle et la scène dans le rire...
Les idées commencent déjà à poindre et promettent déjà beaucoup de plaisir dans le travail!
Des nouvelles plus tard en saison...