Le néo-maniérisme meyerholdien revient, en quelque sorte, en une approche résolument formelle et physique des trois pôles théâtraux que sont la littérarité, la théâtralité et la performativité.
En d'autres termes, ce néo-maniérisme meyerholdien vise une matérialisation concrète (et non hiérarchique...) de son rapport au texte (comme moteur dramatique générateur de tensions, de décalages, de rythme), de son rapport à la scène (comme esthétique motrice et dynamique), de son rapport au corps (comme paramètres de jeu, de potentiel événementiel, de liberté).
Maintenant, ça donne quoi? On y revient:
Dans sa quête de parfaite harmonie de l'ensemble théâtral, le néo-maniérisme meyerholdien doit (nécessairement?) se retrouver au centre de ce schéma (soit dans la petite partie rouge).
Maintenant, que signifie «une approche physique, matérielle, concrète» du texte, de la scène ou du jeu? Ça reste encore à voir... mais c'est si simple sur papier...
Maintenant, que signifie «une approche physique, matérielle, concrète» du texte, de la scène ou du jeu? Ça reste encore à voir... mais c'est si simple sur papier...