jeudi 7 juin 2012

Festivité de plus en plus difficile à prévoir



Comme plusieurs organismes, le Théâtre 100 Masques a déposé, dans les dates, un projet en vue de ces festivités... projet qui - s'il est retenu - pourrait se voir financer...

Le hic, c'est que le dépôt devait se faire avant le 13 janvier 2012... et que la réponse, prévue originalement en avril,  tarde toujours à nous parvenir. La raison? Le comité lui-même est en attente de diverses réponses des différents paliers de gouvernement... On peut écouter ici l'entrevue de la directrice, Line Gagnon, présentée hier sur la première chaîne de Radio-Canada, qui affirme que les organismes recevront une réponses d'ici la mi-juillet... peut-être aussi le début du mois d'août. Que rien n'est problématique... que tout est normal... enfin, presque.

Et pourtant...

Depuis avril, donc, la suite des activités du Théâtre 100 Masques (et les miennes, par conséquent) se fait avec une tentative de laisser de l'espace pour le projet en question - par ailleurs fort stimulant - qui demande une grande préparation (recherche, écriture, conception, mise en scène) et du temps. Mais l'échéancier prévu (théoriquement, je devrais être sérieusement en écriture) se réduit terriblement... et, parallèlement à ce problème, mon agenda personnel se rempli de gros projets pour les mois à venir. La marge de manœuvre pour cette création existe toujours mais elle rétrécit.

Du même coup, rien n'indique que notre projet est éventuellement sélectionné et toutes les contorsions d'horaires se font peut-être en vain.

Si la réponse se fait encore au-delà de juillet, nous serons dans l'obligation (avec beaucoup de déception) de retirer notre dossier... ou d'en modifier le calendrier.

 Dans ce milieu, l'attente est la pire des choses.