Pour faire suite à cette intention de recherche (suivre ce lien) et à cette réduction en une seule phrase (suivre ce lien), voici, résumé en 200 mots (du moins, c'est la tentative), les tenants et aboutissants de ma recherche doctorale.
Il s’agit, par cette recherche, de reconstruire, d’une part, à partir des écrits et théories de Vsevolod Meyerhold (dans les traductions françaises de Béatrice Piccon-Valin) - metteur en scène russe de la première moitié du XXième siècle - les paradigmes fragmentés et disparates de la théâtralité et de la performativité du théâtre actuel… de ce théâtre définit comme post-dramatique par Hans-Thuies Lehmann (en 2001) ; d’autres parts, de revenir à l’essence du théâtre (texte, comédien, spectateur) en cette ère de transgression des genres, d’interdisciplinarité et de mutations technologiques.
En d’autres termes, cette recherche, cette réactualisation (radicale) meyerholdienne (ce néo-maniérisme meyerholdien) s’opposera aux vues téléologiques qui perçoivent le post-dramatique et la nouvelle technologie comme l’aboutissement de la modernité théâtrale pour proposer une nouvelle vision fondamentale du théâtre.
Par la mise en scène de trois spectacles à partir de trois textes contemporains (Moitié-moitié de Daniel Keane, Décadence de Steven Berkoff et Music-Hall de Jean-Luc Lagarce), cette recherche jettera les bases de ce néo-maniérisme qui suppose, de nouveaux rapport au texte (générateur de théâtralité), à l’acteur (émetteur de celle-ci et porteur de la performativité), et à la scène.
Il s’agit, par cette recherche, de reconstruire, d’une part, à partir des écrits et théories de Vsevolod Meyerhold (dans les traductions françaises de Béatrice Piccon-Valin) - metteur en scène russe de la première moitié du XXième siècle - les paradigmes fragmentés et disparates de la théâtralité et de la performativité du théâtre actuel… de ce théâtre définit comme post-dramatique par Hans-Thuies Lehmann (en 2001) ; d’autres parts, de revenir à l’essence du théâtre (texte, comédien, spectateur) en cette ère de transgression des genres, d’interdisciplinarité et de mutations technologiques.
En d’autres termes, cette recherche, cette réactualisation (radicale) meyerholdienne (ce néo-maniérisme meyerholdien) s’opposera aux vues téléologiques qui perçoivent le post-dramatique et la nouvelle technologie comme l’aboutissement de la modernité théâtrale pour proposer une nouvelle vision fondamentale du théâtre.
Par la mise en scène de trois spectacles à partir de trois textes contemporains (Moitié-moitié de Daniel Keane, Décadence de Steven Berkoff et Music-Hall de Jean-Luc Lagarce), cette recherche jettera les bases de ce néo-maniérisme qui suppose, de nouveaux rapport au texte (générateur de théâtralité), à l’acteur (émetteur de celle-ci et porteur de la performativité), et à la scène.