Lorsque le milieu théâtral d'ici se réunit - que ce soit pour des rencontres de concertation ou lors de rencontres dans des instances plus officielles - nous aimons nous targuer d'être le troisième pôle théâtral en importance au Québec.
Et les justifications sont nombreuses: nombre de compagnies, nombre d'artistes locaux impliqués, reconnaissances, etc.
Nous ne sommes pas les seuls à nous en réclamer!
Déjà, en 1969, une telle constatation émanait du Devoir (dans son édition du 1er novembre) et de son journaliste et important critique théâtral, Michel Bélair (peut-être la lecture sera plus facile à même l'édition en ligne, ici, p.11):
Comme quoi le foisonnement théâtral dans notre région n'est pas affaire de nouveauté...