Alors, comme prélude au texte Les Boulingrins de Courteline (mis en scène dans le cadre de la troisième production du Théâtre Mine de Rien), je me suis rabattu sur ce qu'il serait intéressant de nommer son héritier, tant par le ton que par le style, René de Obaldia (élu à l'Académie Française en 1999), avec la pièce Le Défunt.
Cette dernière donne la parole à deux amies qui se retrouvent dans un parc et évoquent le douloureux souvenir d'un proche défunt, Victor. Un dialogue caustique s'ensuit alors entre la veuve éplorée et l'ancienne maîtresse.
Ce prologue donnera donc le ton à la pièce suivant qui, avec l'adaptation (rendue nécessaire pour combler les personnages sans travestissement), mettra au prise d'une part un homme, pique-assiette de son état et charmeur devant l'éternel, et deux veilles filles qui se battront ses attentions. Une guerre domestique avec toute la verve du maître du vaudeville.
Les liens seront tissés en ce sens pour atteindre une tentative de fusion.
Mes objectifs, outre le fait de donner le goût du théâtre à des gens, sont de poursuivre l'apprentissage d'une maîtrise de la chorégraphie scénique, de la forme réduite et, le défi serait d'intégrer, pour une fois, la musique à ce travail.
Avec Marilyn Chamberland, Martine Chapados, Marilou Simard, Mélissa Valiquette et Nicolas Virahleguy.
samedi 20 septembre 2008
Futur antérieur
Si je me fie aux petites écritures du générique d'ouverture, ce truc daterait de 1992... Voici donc une réponse (qui fout les jetons) à tous les dénigreurs de la Culture et à tous les gouvernements obscurantismes... une suite au vidéo publié un peu partout depuis hier, Culture en péril...
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