Il est tellement rare de trouver des défenseurs du théâtre dans les archives journalistiques de la fin du dix-neuvième et du début du vingtième siècle, qu'il m'est difficile de passer à côté de celui-ci, publié le 19 décembre 1894 dans L'Électeur.
Il s'agit d'une lettre vitriolique - anonyme elle aussi - qui s'élève contre la bigoterie d'un autre signataire - sous le pseudonyme de la Société St-Vincent de Paul - qui s'acharne contre le théâtre: