Voilà. C'est fait.
Hier soir a eu lieu la première de La Visite... et contre toute attente (après avoir eu de la difficulté horaire, avoir manqué un peu de temps et m'être laissé envahir pas le doute et l'angoisse), ce fut généralement un bon succès. J'y ai cependant toujours cru... en me forçant un peu parfois. Une gestion du stress ardue.
Malgré le trac et la fébrilité de la première représentation devant un public (d'ailleurs, la salle était comble...), les comédiens se sont ouverts à cette comédie avec enthousiasme et générosité. Le gâteau a levé. Un beau gâteau. «Enfin!» devrais-je ajouter. Ce fut long. Mais pour la première fois, sur scène, il y avait un esprit d'équipe fort.
Entretemps, je suis mort une nouvelle fois.
Maintenant, un nouveau volet s'ouvre sur ce projet: les représentations. Il appartient désormais aux comédiens de faire évoluer ce spectacle (avec, tout de même, un oeil constant de ma part et l'oeil plus présent de Joan Tremblay!) en apprivoisant l'action qui doit se passer sur scène et les rires venus de la salle. Un travail rigoureux parce qu'il est facile de se laisser emporter par ceux-ci et de surjouer pour tenter d'aller en chercher toujours plus. Les trois mêmes éléments doivent guider cette évolution autonome: la précision (dans le geste, le placement et le rythme), l'écoute et le plaisir.
Merde à toute cette équipe pour la suite des choses!
Hier soir a eu lieu la première de La Visite... et contre toute attente (après avoir eu de la difficulté horaire, avoir manqué un peu de temps et m'être laissé envahir pas le doute et l'angoisse), ce fut généralement un bon succès. J'y ai cependant toujours cru... en me forçant un peu parfois. Une gestion du stress ardue.
Malgré le trac et la fébrilité de la première représentation devant un public (d'ailleurs, la salle était comble...), les comédiens se sont ouverts à cette comédie avec enthousiasme et générosité. Le gâteau a levé. Un beau gâteau. «Enfin!» devrais-je ajouter. Ce fut long. Mais pour la première fois, sur scène, il y avait un esprit d'équipe fort.
Entretemps, je suis mort une nouvelle fois.
Maintenant, un nouveau volet s'ouvre sur ce projet: les représentations. Il appartient désormais aux comédiens de faire évoluer ce spectacle (avec, tout de même, un oeil constant de ma part et l'oeil plus présent de Joan Tremblay!) en apprivoisant l'action qui doit se passer sur scène et les rires venus de la salle. Un travail rigoureux parce qu'il est facile de se laisser emporter par ceux-ci et de surjouer pour tenter d'aller en chercher toujours plus. Les trois mêmes éléments doivent guider cette évolution autonome: la précision (dans le geste, le placement et le rythme), l'écoute et le plaisir.
Merde à toute cette équipe pour la suite des choses!