Si l'on prend pour base le fait qu'au centre du théâtre se trouve l'acteur, on peut peut-être définir le théâtre comme étant un art qui met deux forces en présences: la THÉÂTRALITÉ et la PERFORMATIVITÉ.
Gardant en tête la première prémisse énoncée en début de billet, la THÉÂTRALITÉ serait le fait du corps esthétique. C'est par elle que se crée les codes... donc, elle fait, en quelques sortes, office de référent, de déterminé.
Dans la même veine, la PERFORMATIVITÉ serait le fait du corps spatio-temporel (ici et maintenant). Ses deux caractéristiques principales seraient son événementialité (et par là, la liberté inhérente à celle-ci) et l'engagement requis (en 4 opérations: être, faire, montrer le faire, expliquer). Alors que la théâtralité crée le code, la performativité crée le(s) sens, ouvre le potentiel d'actions.
C'est dans le va-et-vient entre ces deux notions (couplé aux notions meyerholdiennes) que se construit mon projet de recherche et que se posent désormais les nombreux défis qui émailleront le travail de laboratoire... J'y reviendrai assurément!
Gardant en tête la première prémisse énoncée en début de billet, la THÉÂTRALITÉ serait le fait du corps esthétique. C'est par elle que se crée les codes... donc, elle fait, en quelques sortes, office de référent, de déterminé.
Dans la même veine, la PERFORMATIVITÉ serait le fait du corps spatio-temporel (ici et maintenant). Ses deux caractéristiques principales seraient son événementialité (et par là, la liberté inhérente à celle-ci) et l'engagement requis (en 4 opérations: être, faire, montrer le faire, expliquer). Alors que la théâtralité crée le code, la performativité crée le(s) sens, ouvre le potentiel d'actions.
C'est dans le va-et-vient entre ces deux notions (couplé aux notions meyerholdiennes) que se construit mon projet de recherche et que se posent désormais les nombreux défis qui émailleront le travail de laboratoire... J'y reviendrai assurément!