Les critiques de théâtre exercent un métier dangereux... car oui, les mécontents sont souvent nombreux: parce que trop floues, trop brèves, trop incomplètes, trop dures, trop vague, trop à côté de la track. Trop. Ou pas assez.
Mais personne, je l'espère, ne réagira comme cet homme dont il est question dans le Devoir du 14 octobre 1913: