Voici, bien expliquée dans ce petit entrefilet publié dans Le Courrier du Canada en ce 21 janvier 1885, la manière qu'ont trouvée les théâtres pour passer outre aux remontrances du clergé et pouvoir poursuivre leurs activités:
Faut croire que le clergé n'était pas naïf!
Il faut dire, par ailleurs, que de nombreux obstacles (principalement moraux et religieux... mais aussi financiers, qu'il ne faut pas oublier!) se dressaient devant les directions et que la précarité des entreprises ne favorisait définitivement pas la pérennité de celles-ci! D'où les changements de noms!