Le 22 juin 1935, le journal montréalais La Renaissance publie un article de Louis Pelland sur la crise qui secoue le milieu théâtral du début des années '30. Manque de ressources. Amateurisme. Domination du burlesque et du mélodrame. Théâtre à la chaîne.
Il faut dire qu'à l'époque, ils (les intellectuels) sont plusieurs à réclamer un minimal soutien de l'état, une formation de base, un professionnalisme, une réforme de l'art dramatique... qui viendra quelques années plus tard (1938), avec l'arrivée des Compagnons de St-Laurent et Gratien Gélinas.
Quelques jours plus tard (le 13 juillet 1935), il en remet une couche:
Que dirait-il aujourd'hui?
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