mercredi 2 février 2022

Quand le sou du pauvre ne fait pas l'affaire...

Dans l'article d'hier, il était question de l'instauration, en 1915 d'une taxe d'un sou par billet acheté destinée à l'Assistance publique ou aux hôpitaux et organismes de charité. Cette taxe portait le joli nom de sou du pauvre.


Dans les archives, cette taxe revient souvent... et souvent, parce qu'elle est décriée par les directeurs de théâtre ou par différents groupes qui auraient aimé mettre la main sur le petit pactole.

Mais ô surprise... il y a aussi ce type de controverse quand une congrégation religieuse refuse le montant qui leur est octroyée (par le gouvernement) sous prétexte que cet argent vient du sale théâtre! Ah l'Église... 

Une petite histoire rapportée par Le Franc-Parleur du 28 octobre 1916:


Admirez, en terminant, le beau jeu de mot... 

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