Je l'ai déjà dit et je me répète encore une fois: j'affectionne particulièrement la période théâtrale - très souvent occultée parce que peu structurée, dramaturgiquement pauvre, mouvante, sans oeuvre majeure, sans véritable trace - qui couvre la fin du XIXième et le début du 20ième siècle (1850-1930).
Parce que le théâtre y était art populaire.
Parce que le théâtre foisonnait de mélodrames obscurs en spectacles burlesques.
Parce que le théâtre était artisanal et se faisait (surtout au début du XXième siècle) à la chaîne.
Et surtout, parce que le théâtre y était (très) souvent, via les journaux de l'époque, enjeu spirituel et moral!
Ce matin, voici un autre retour dans le temps... en ce 17 mars 1880... à la page 2 du Courrier du Canada - journal des intérêts canadiens:
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