Comment, sans faire aucune concession sur les choix artistiques (ou sur les principes dramatiques, les envies de recherches, d'approfondissement) se rapprocher des formes populaires... populaires dans le sens de «faciles à l'identification»? Est-ce tout simplement possible de maintenir une forte exigence formelle tout en cherchant à attirer du public? L'hermétisme (mis ici en exergue car j'abhorre ce terme que je trouve méprisant pour l'intelligence du spectateur) existe-t-il... ou si n'est-ce qu'une simple maladresse de conception?
Le sujet est large, le débat un peu inutile: la recherche du popularisme à tout prix réduit le théâtre à un divertissement sans valeur (artistique, du moins...) alors que la recherche disons fondamentale et unique devient aride et sans attrait pour les non-initiés.
Je pense, personnellement, qu'il faut juste (et ce fut le sujet de ce billet) faire confiance au spectateur, à son imagination, sa capacité de compréhension. Bien préparée, bien faite, une production - peu importe son style et son créneau! - saura attirer les gens.
*Le titre est, en quelques sortes, un hommage à Johanna Lochon qui m'a inspiré ce billet...
Le sujet est large, le débat un peu inutile: la recherche du popularisme à tout prix réduit le théâtre à un divertissement sans valeur (artistique, du moins...) alors que la recherche disons fondamentale et unique devient aride et sans attrait pour les non-initiés.
Je pense, personnellement, qu'il faut juste (et ce fut le sujet de ce billet) faire confiance au spectateur, à son imagination, sa capacité de compréhension. Bien préparée, bien faite, une production - peu importe son style et son créneau! - saura attirer les gens.
*Le titre est, en quelques sortes, un hommage à Johanna Lochon qui m'a inspiré ce billet...
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