Seconde journée (14h-17h / 18h-21h)
Cette deuxième journée fut éprouvante... bien que fructueuse...
Fructueuse parce qu'avec Jessyka et Marilyne, nous nous sommes entendus sur un espace installatif composé de chaises et d'ampoules bleues... Une immense salle (!) emplie de chaises... Le vide théâtral, le gouffre du spectateur...
Éprouvante parce que nous nous sommes plongés concrètement dans le travail, à la recherche du ton juste, de la forme la plus efficace du vide existentiel au coeur de ce projet. Peut-être est-ce la partie la plus stimulante... et la plus complexe.
Si la première partie s'avère complexe dans son exécution (au point de finalement faire un découpage non pas de distribution mais d'intentions), dans sa dynamique, dans la synergie intrinsèque entre les trois protagonistes, la seconde (un très long monologue) se heurte à la littéralité du texte: qu'est-ce qui se dit? à qui? pourquoi?
Et la grande question: comment le vide existentiel se concrétise-t-il dans toute la création?
Le plus grand danger: tomber dans le psychologique... dans des considérations qui s'éloignent définitivement du texte.
Pause souper (avec l'aimable générosité du commanditaire du jour: Tsing-Tao).
Le retour au travail en soirée (toujours difficile) s'est fait dans la même veine que celui des heures précédentes: recherche de tons et d'intentions...
Enfin, dodo.
Fructueuse parce qu'avec Jessyka et Marilyne, nous nous sommes entendus sur un espace installatif composé de chaises et d'ampoules bleues... Une immense salle (!) emplie de chaises... Le vide théâtral, le gouffre du spectateur...
Éprouvante parce que nous nous sommes plongés concrètement dans le travail, à la recherche du ton juste, de la forme la plus efficace du vide existentiel au coeur de ce projet. Peut-être est-ce la partie la plus stimulante... et la plus complexe.
Si la première partie s'avère complexe dans son exécution (au point de finalement faire un découpage non pas de distribution mais d'intentions), dans sa dynamique, dans la synergie intrinsèque entre les trois protagonistes, la seconde (un très long monologue) se heurte à la littéralité du texte: qu'est-ce qui se dit? à qui? pourquoi?
Et la grande question: comment le vide existentiel se concrétise-t-il dans toute la création?
Le plus grand danger: tomber dans le psychologique... dans des considérations qui s'éloignent définitivement du texte.
Pause souper (avec l'aimable générosité du commanditaire du jour: Tsing-Tao).
Le retour au travail en soirée (toujours difficile) s'est fait dans la même veine que celui des heures précédentes: recherche de tons et d'intentions...
Enfin, dodo.
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