Un moment croqué sur le vif en répétition (6 juin 2010)
Valérie, Marie-Ève, Mélanie, Émilie, Marilyne et Marie Noëlle
Photographie: Dario Larouche
Valérie, Marie-Ève, Mélanie, Émilie, Marilyne et Marie Noëlle
Photographie: Dario Larouche
L'un des points qui a pesé le plus dans le choix de ce texte d'Aristophane était son caractère licencieux (voir le billet du 24 juillet 2009) voire obscène.
Au fil des répétitions, le doute m'assaille pourtant...
Jusqu'où puis-je aller dans cette voie? Jusqu'à quel point puis-je surfer sur ces éléments et construire un spectacle sans tomber dans la vulgarité? Jusqu'où puis-je amener la représentation dans cette voie sans choquer gratuitement? Vais-je trop loin en appuyant ce caractère dramaturgique? Est-ce que je me laisse aller à la mise en scène par-delà la nécessité?
Telles sont les questions que je pose au sortir d'une répétition comme celle d'aujourd'hui où nous répétions l'avant-dernière scène, celle où une jeune fille et trois «vieilles» se battent pour goûter au plaisir de la chair avec un jeune homme fringuant...
Bref, quel ton prendre et maintenir pour cette production?
Au fil des répétitions, le doute m'assaille pourtant...
Jusqu'où puis-je aller dans cette voie? Jusqu'à quel point puis-je surfer sur ces éléments et construire un spectacle sans tomber dans la vulgarité? Jusqu'où puis-je amener la représentation dans cette voie sans choquer gratuitement? Vais-je trop loin en appuyant ce caractère dramaturgique? Est-ce que je me laisse aller à la mise en scène par-delà la nécessité?
Telles sont les questions que je pose au sortir d'une répétition comme celle d'aujourd'hui où nous répétions l'avant-dernière scène, celle où une jeune fille et trois «vieilles» se battent pour goûter au plaisir de la chair avec un jeune homme fringuant...
Bref, quel ton prendre et maintenir pour cette production?
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