C'est définitivement dans L'Écho du cabinet de lecture paroissial de Montréal que j'ai retrouvé, au fil du temps, les plus belles pages de sermons contre le théâtre: de longs réquisitoires qui se déversent en fiel et en anathèmes, qui condamnent sans appel et vouent aux plus terribles gémonies tous ceux et celles qui assistent au spectacle.
L'édition du jeudi 5 juillet 1860 (disponible sur BaNQ) n'est pas en reste et y va d'une charge à fond de train contre le déshonorant état de comédien. Je n'en publie ici que quelques (longs) extraits les plus marquants:
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Si vous avez un commentaire à faire, ça peut se passer ici: