Dans ce beau début du XXième siècle, la moralité et la vertu se battent férocement contre le théâtre, école du vice. Le puritanisme veille. Au point où il attaque même la censure, l'accusant de souplesse et de complicité dans la dépravation des moeurs.
En témoigne cette réplique du censeur du Théâtre des Nouveautés, publiée dans Le Nationaliste du 19 janvier 1908, qui recadre le débat en donnant une explication de son travail:
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