De l'amour et des griffes. Tel sera le titre du prochain spectacle du Théâtre Mine de rien (théâtre amateur de l'UQAC), présenté les 27 et 28 novembre 2008 à l'Auditorium de l'UQAC, mieux connu sous le très bref P0-5000...
Alors... de l'amour, oui. Thème cher au vaudeville, on ne peut guère y échapper... mais cette fois... il s'agit d'un passage entre l'amour passé (Le Défunt) et le désir insasouvi (Les Boulingrin... revisités). Ce sentiment pour lequel les gens sont prêts à tout, au meilleur comme au pire... surtout au pire dans ce contexte... à des coups de griffes cruels et libérateurs.
Le nombre réduit de participants (5) conjugué à la courte durée des pièces (qui en tout ne devrait pas dépasser 45 minutes) permettra de plonger plus intensément et plus profondément dans ce répertoire qui recèle de véritables pièges et qui demande d'être fortement sutenu par les comédiens. Déjà le travail est entamé avec enthousiasme et plaisir...
Après l'ouverture marquée par son statisme (narration oblige, dans ce cas), place à la chorégraphie scénique, au ballet scéno-acrobatique.
Le but de cet atelier (car les mises en scène de cette troupe sont de cet ordre...) est, pour paraphraser Jean Genet, monumental auteur français de la seconde moitié du XXième siècle, non pas de les former, mais plutôt de les enflammer...
Le nombre réduit de participants (5) conjugué à la courte durée des pièces (qui en tout ne devrait pas dépasser 45 minutes) permettra de plonger plus intensément et plus profondément dans ce répertoire qui recèle de véritables pièges et qui demande d'être fortement sutenu par les comédiens. Déjà le travail est entamé avec enthousiasme et plaisir...
Après l'ouverture marquée par son statisme (narration oblige, dans ce cas), place à la chorégraphie scénique, au ballet scéno-acrobatique.
Le but de cet atelier (car les mises en scène de cette troupe sont de cet ordre...) est, pour paraphraser Jean Genet, monumental auteur français de la seconde moitié du XXième siècle, non pas de les former, mais plutôt de les enflammer...
La pièce est présentée en même temps que le projet de maîtrise d'Émilie Gilbert Gagnon!
RépondreSupprimerDommage
Nous n'avons pas le choix... la semaine suivante, c'Est déjà la fin de la session... et avant ça, c'est trop tôt étant donné le fait que nous ne répétons que les samedis après-midis...
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