Les comédiennes en répétition (fin mai 2010)
Mélanie (hors de la photo), Erika, Marilyne, Marie-Ève, Émilie, Valérie, Marie-Noëlle
Photographie: Dario Larouche
Mélanie (hors de la photo), Erika, Marilyne, Marie-Ève, Émilie, Valérie, Marie-Noëlle
Photographie: Dario Larouche
Cet après-midi, nous avons fait un nouvel enchaînement... le premier depuis le 22 mai dernier... le premier véritable enchaînement d'un bout à l'autre de la pièce (après les coupures dont il est question ici). Résultat: cette représentation (parce qu'il s'agit bien de cela!) a duré une heure trente!
Une heure trente qui devrait perdre encore une dizaine de minutes dans l'assurance des interprètes et le rodage du spectacle.
Quelle(s) leçon(s) tirer de cet exercice?
Premièrement, je pense que ce texte vaut encore le coup et qu'il contient tout pour faire une bonne comédie d'été: des personnages amusants, des textes savoureux et le fameux trio burlesque «pet-poil-punch». Qui plus est, ce texte est intelligent.
L'espace est magnifique... malgré le travail qu'il reste à effectuer. L'ensemble peut porter le discours et permet une bonne utilisation de l'espace qui ne peut que se bonifier avec l'entrée en salle et l'installation des éclairages.
Les comédiennes sont très bonnes, même si elles manquent d'assurance, voire de confiance.
Car c'est à elles qu'appartient la plus lourde tâche: faire vivre le tout, lui insuffler le dynamisme et la vivacité tout en prouvant leur plus grande maîtrise de leur art... et la mise en scène ne les aide pas. Il y a beaucoup de choses à revoir... enfin... beaucoup de précisions à apporter. Du nettoyage de scène (la mise en scène encombre parfois un peu trop le jeu de celles-ci). De l'ajustement de personnages les uns par rapport aux autres.
Comment le rire doit-il et peut-il surgir de certaines scènes, de certains gestes? Il faut voir. Les comédiennes doivent en avoir conscience. Que doit-on dire par ce texte vieux de 2500 ans? Que dit-on présentement? Il faut voir. Il faut, encore là, préciser.
Une heure trente qui devrait perdre encore une dizaine de minutes dans l'assurance des interprètes et le rodage du spectacle.
Quelle(s) leçon(s) tirer de cet exercice?
Premièrement, je pense que ce texte vaut encore le coup et qu'il contient tout pour faire une bonne comédie d'été: des personnages amusants, des textes savoureux et le fameux trio burlesque «pet-poil-punch». Qui plus est, ce texte est intelligent.
L'espace est magnifique... malgré le travail qu'il reste à effectuer. L'ensemble peut porter le discours et permet une bonne utilisation de l'espace qui ne peut que se bonifier avec l'entrée en salle et l'installation des éclairages.
Les comédiennes sont très bonnes, même si elles manquent d'assurance, voire de confiance.
Car c'est à elles qu'appartient la plus lourde tâche: faire vivre le tout, lui insuffler le dynamisme et la vivacité tout en prouvant leur plus grande maîtrise de leur art... et la mise en scène ne les aide pas. Il y a beaucoup de choses à revoir... enfin... beaucoup de précisions à apporter. Du nettoyage de scène (la mise en scène encombre parfois un peu trop le jeu de celles-ci). De l'ajustement de personnages les uns par rapport aux autres.
Comment le rire doit-il et peut-il surgir de certaines scènes, de certains gestes? Il faut voir. Les comédiennes doivent en avoir conscience. Que doit-on dire par ce texte vieux de 2500 ans? Que dit-on présentement? Il faut voir. Il faut, encore là, préciser.
Découragé? Non... même que je suis plutôt enthousiaste! Un enthousiasme rigoureux.
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