Arrive toujours un moment dans l'année où la situation financière d'un organisme culturel (le Théâtre 100 Masques, pour ne pas le nommer dans ce cas-ci...) semble précaire... voire désespérée.
Pour nous, le problème vient du fait que par un choix logique et nécessaire, nous avons priorisé l'embauche temporaire d'une ressource pour les activités de l'automne (dont le contrat est maintenant terminé...): rapport des activités estivales, préparation des ateliers réguliers, demandes de subventions, parcours audiothéâtral, mise en lecture du Festival des Mets et des Mots, préparation de la production des Fêtes... à cela s'ajoute les ateliers pour aînés et les ateliers scolaires.
Cette ressource devait occuper le poste de façon très limitée, jusqu'à l'embauche (par le processus d'une subvention salariale... le temps que nous consolidions notre fonds de roulement) permanente d'une personne. Malheureusement, bien que le CLE nous ait octroyé une subvention dès la mi-septembre, les circonstances n'ont pas permis de remplir ce poste... et ce subventionneur s'est vu dans l'obligation de reprendre ce qu'il nous avait donné.
Ainsi donc, le fond de roulement de la compagnie a été fortement entamé... au point où décembre s'avérera aride. Pourtant, nous ne sommes pas sur le bord de la faillite, qu'on se rassure! Le grand problème de liquidité que nous pouvons éprouver (enfin, que nous éprouverons après que tous les comptes, cachets et autres salaires d'ici les Fêtes soient payés) vient du fait que outre une petite subvention du CAS, la plupart de nos revenus proviennent de services facturés... donc, souvent en attente... ce qui est le cas pour l'instant.
N'empêche que certaine nuit, le sommeil est difficile à trouver!
Pour nous, le problème vient du fait que par un choix logique et nécessaire, nous avons priorisé l'embauche temporaire d'une ressource pour les activités de l'automne (dont le contrat est maintenant terminé...): rapport des activités estivales, préparation des ateliers réguliers, demandes de subventions, parcours audiothéâtral, mise en lecture du Festival des Mets et des Mots, préparation de la production des Fêtes... à cela s'ajoute les ateliers pour aînés et les ateliers scolaires.
Cette ressource devait occuper le poste de façon très limitée, jusqu'à l'embauche (par le processus d'une subvention salariale... le temps que nous consolidions notre fonds de roulement) permanente d'une personne. Malheureusement, bien que le CLE nous ait octroyé une subvention dès la mi-septembre, les circonstances n'ont pas permis de remplir ce poste... et ce subventionneur s'est vu dans l'obligation de reprendre ce qu'il nous avait donné.
Ainsi donc, le fond de roulement de la compagnie a été fortement entamé... au point où décembre s'avérera aride. Pourtant, nous ne sommes pas sur le bord de la faillite, qu'on se rassure! Le grand problème de liquidité que nous pouvons éprouver (enfin, que nous éprouverons après que tous les comptes, cachets et autres salaires d'ici les Fêtes soient payés) vient du fait que outre une petite subvention du CAS, la plupart de nos revenus proviennent de services facturés... donc, souvent en attente... ce qui est le cas pour l'instant.
N'empêche que certaine nuit, le sommeil est difficile à trouver!
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