De mémoire (la mienne!), il me semble que c'est la première fois, la première saison où il y a un tel foisonnement théâtral, un tel bouillonnement scénique, que le milieu a du mal à suivre: essoufflement, chevauchement des projets, des productions, implication des artisans dans de multiples activités...
Pour la première fois, il me semble que le nombre de personnes impliquées est fort élevé... à moins que je me trompe...
D'une part, cela dénote une vitalité théâtrale incroyable pour une région... mais en même temps, il s'agit un peu aussi de poudre aux yeux parce que le financement, lui, n'est pas nécessairement au rendez-vous...
Pour la première fois, il me semble que le nombre de personnes impliquées est fort élevé... à moins que je me trompe...
D'une part, cela dénote une vitalité théâtrale incroyable pour une région... mais en même temps, il s'agit un peu aussi de poudre aux yeux parce que le financement, lui, n'est pas nécessairement au rendez-vous...
Il y a, dans ce beau milieu, une fâcheuse propension à se draper dans le rôle de victime, de martyr socio-économique, de souffre-douleur...
RépondreSupprimerEt vlan!
RépondreSupprimerMais mon billet, si tu le lis bien, est plutôt positif... :)... je dis seulement que le financement global n'est pas au rendez-vous... ne sont pas Farandoles qui veut (avec un financement de 300 000$ pour un projet qui dort dans un tiroir qu'on oublie...).
RépondreSupprimerJe sais bien! La blague était trop facile. Elle m'était tendu les bras ouvert!!!
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