L'Affaire de la rue Lourcine en chantier devrait se voir aujourd'hui rallonger de trois nouvelles scènes.
Déjà, le travail effectué tourne autour d'une petite demie-heure.
Le plan de travail est toujours de mise. Si la précision et la rigueur ne sont pas nécessairement au point, les rires fusent cependant et je crois que l'on a, entre les mains, une comédie efficace, aussi drôle que physique! Si je m'en tiens au calendrier, un premier enchaînement complet devrait avoir lieu d'ici deux petites semaines (le 21 mai pour être plus précis). Alors, nous aurons une vue d'ensemble sur la pièce, son rythme, ses personnages, ses dynamiques.
Pour cette production, le texte est pris comme matière de base qui peut se voir (et se voit!) modifié, d'abord pour accommoder la distribution en terme de personnages masculins et féminins, revu et corrigé pour lier des situations, des gestes, réécrit pour réintégré des répliques chantées (chose commune dans les vaudevilles). Au final, L'Affaire de la rue Lourcine, version Théâtre 100 Masques, ne sera pas de mais d'après Labiche, la partie originale couvrant peut-être 75-80% de l'oeuvre scénique.
D'ailleurs, dans la même veine, il me faudrait retrouver la source de cette citation qui me convient fort bien et que j'endosse: je ne joue pas un texte je joue avec un texte.
Maintenant, il nous faudra nous concentrer sur toute la recherche esthétique de cette production: scénographie, costumes, lumières, accessoires.
Déjà, le travail effectué tourne autour d'une petite demie-heure.
Le plan de travail est toujours de mise. Si la précision et la rigueur ne sont pas nécessairement au point, les rires fusent cependant et je crois que l'on a, entre les mains, une comédie efficace, aussi drôle que physique! Si je m'en tiens au calendrier, un premier enchaînement complet devrait avoir lieu d'ici deux petites semaines (le 21 mai pour être plus précis). Alors, nous aurons une vue d'ensemble sur la pièce, son rythme, ses personnages, ses dynamiques.
Pour cette production, le texte est pris comme matière de base qui peut se voir (et se voit!) modifié, d'abord pour accommoder la distribution en terme de personnages masculins et féminins, revu et corrigé pour lier des situations, des gestes, réécrit pour réintégré des répliques chantées (chose commune dans les vaudevilles). Au final, L'Affaire de la rue Lourcine, version Théâtre 100 Masques, ne sera pas de mais d'après Labiche, la partie originale couvrant peut-être 75-80% de l'oeuvre scénique.
D'ailleurs, dans la même veine, il me faudrait retrouver la source de cette citation qui me convient fort bien et que j'endosse: je ne joue pas un texte je joue avec un texte.
Maintenant, il nous faudra nous concentrer sur toute la recherche esthétique de cette production: scénographie, costumes, lumières, accessoires.
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