Ce matin, je fais œuvre de traduction pour transcrire ici quelques nouvelles superstitions théâtrales (que je viens de découvrir en furetant sur le web... sur Google Books pour être plus précis...). Personnellement, j'aime ces éléments surnaturels bien que je n'y prête guère attention sur le terrain.
Elles proviennent, d'une part, de l'ouvrage The Origins of Popular Superstitions and Customs (qu'on peut retrouver ici, à partir de la page 186) par Thomas Sharper Knowlson et dont la première publication s'est faite en 1890.
C'est un signe de succès assuré si les souliers d'un acteur grincent (bon, je dirais couinent...) alors qu'il entre en scène pour la première fois...
Si, lors d'une entrée en scène, le costume (ou une pièce de celui-ci) s'accroche à une partie du décor, l'acteur doit immédiatement revenir sur ses pas et refaire une nouvelle entrée pour contrer le mauvais sort...
Au guichet, lors d'une première, si le premier spectateur qui achète son billet est un vieil homme ou une vieille femme, cela signifie que la pièce aura une longue vie. Par contre, ce sera le contraire s'il s'agit d'une jeune personne...
D'autres parts, en voici une autre (qui revient très souvent dans les bouquins et dont j'ignorais l'existence...) tirée de l'ouvrage Sketches from Bohemia: being stories of the stage, the study, and the studio par Shafto Justin Adair Fitz-Gerald en 1918 (ici, à partir de la page 131).
La dernière réplique (ou le dernier discours) d'une nouvelle pièce ne doit jamais, en aucune circonstance, être dite en répétition. La prononcer ne peut qu'attirer le mauvais oeil sur cette création. Elle ne doit être dite que lors de la première, devant public.
Elles proviennent, d'une part, de l'ouvrage The Origins of Popular Superstitions and Customs (qu'on peut retrouver ici, à partir de la page 186) par Thomas Sharper Knowlson et dont la première publication s'est faite en 1890.
C'est un signe de succès assuré si les souliers d'un acteur grincent (bon, je dirais couinent...) alors qu'il entre en scène pour la première fois...
Si, lors d'une entrée en scène, le costume (ou une pièce de celui-ci) s'accroche à une partie du décor, l'acteur doit immédiatement revenir sur ses pas et refaire une nouvelle entrée pour contrer le mauvais sort...
Au guichet, lors d'une première, si le premier spectateur qui achète son billet est un vieil homme ou une vieille femme, cela signifie que la pièce aura une longue vie. Par contre, ce sera le contraire s'il s'agit d'une jeune personne...
D'autres parts, en voici une autre (qui revient très souvent dans les bouquins et dont j'ignorais l'existence...) tirée de l'ouvrage Sketches from Bohemia: being stories of the stage, the study, and the studio par Shafto Justin Adair Fitz-Gerald en 1918 (ici, à partir de la page 131).
La dernière réplique (ou le dernier discours) d'une nouvelle pièce ne doit jamais, en aucune circonstance, être dite en répétition. La prononcer ne peut qu'attirer le mauvais oeil sur cette création. Elle ne doit être dite que lors de la première, devant public.
Bonjours
RépondreSupprimerJe passe l’option facultative théâtre pour le bac, pour cela je doit constituer un dossier grâce a un sujet que j'ai choisie. Apres réflexion je me suis décidé pour prendre les superstitions théâtrales. Après de longues recherches j'ai finalement réussi a trouver quelques superstitions mais je pense qu'il y en a encore plus a trouver. Je me demandais donc si vous saviez si les livres que vous citez dans cette article sont trouvable en français ?
merci d'avance de votre aide
D'après mes recherches, non, je n'en connais pas de traductions francophones.
RépondreSupprimerMince! Tant pis je trouverais un autre moyen de recherche.
RépondreSupprimerMerci beaucoup :)
J'aurais une dernière question savez vous pourquoi le marteau, le vendredi et le lapin portent ils malheur ? (pour le lapin je pense que les gens du théâtre avaient peur que les "ficelles" soient rongées)
Pour le lapin, il me semble effectivement que c'était une question de ''sécurité''...
RépondreSupprimerLe vendredi, j'imagine que l'origine est judéo-chrétienne: c'était un jour de jeûne et, par conséquent, il ne devait pas être bien vu de jouer dans ce contexte. Il y a aussi (mais il faudrait vérifier ce que je dis) le fait que les jours de la semaines étaient divisés en jours ''ordinaires'' et en jours ''extraordinaires''. Faudrait voir comment était catégorisé le vendredi...
Enfin, pour le marteau, je ne suis pas au courant...
Encore une fois merci pour votre aide.
RépondreSupprimerGrace à vous j'ai de nouvelles pistes :)