mercredi 13 août 2008

Suite du billet précédent...

Voici les résultats (merci Vicky!) d'un sondage publié dans le Globe and mail hier, pour savoir comment la population canadienne réagit aux coupures actuelles dans le secteur culturel:

Do you agree with Ottawa's decision to cut funding for Canadian artists working abroad?

Yes

56% - 6142 votes
6142 votes

No

44% - 4899 votes

Encore une fois, il est angoissant de voir avec quelle facilité le gouvernement se permet de telles initiatives... et terrorisant de constater qu'il obtient, pour cela, l'appui d'une majorité de la population...

Voici la réaction de Marc Cassivi, journaliste (ou chroniqueur) de La Presse.

Mais ce n'est encore rien... Encore une fois, ce matin, dans l'exploration journalistique quotidienne, une petite nouvelle accroche un nouveau soupir de découragement:

La vague de compressions fédérales en culture se poursuit. C'est maintenant au tour de deux institutions québécoises, l'Institut national de l'image et du son (INIS) et la Société des arts technologiques (SAT) d'écoper lourdement.

Après PromArt, le gouvernement conservateur abolit deux autres programmes: le Programme national de formation dans le secteur du film et de la vidéo (PNFSFV) et le Fonds des réseaux de recherche sur les nouveaux médias (FRRNM). Ils disparaîtront tous deux le 31 mars prochain.
(Paul Journet, La Presse, 13 août 2008)


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