Pour faire suite au dernier billet sur ce blogue portant sur la critique versus internet, je me suis reposé, une nouvelle fois, la question fatidique: qu'est-ce que la critique? qu'est-ce qu'une bonne (pour ne pas dire une vraie) critique? quels sont son essence et son fondement? Et par hasard, je tombe sur ces mots de Copeau:
Je veux qu'[elle] soit sincère, grave, profond[e], se sachant investi[e], à l'égard du poète, d'une fonction créatrice, digne de collaborer à la même oeuvre que lui et de porter, comme lui, la responsabilité de la culture.
Quelle définition! Le jour où nous auront une telle critique, le milieu pourra se dire mature.
Je veux qu'[elle] soit sincère, grave, profond[e], se sachant investi[e], à l'égard du poète, d'une fonction créatrice, digne de collaborer à la même oeuvre que lui et de porter, comme lui, la responsabilité de la culture.
Quelle définition! Le jour où nous auront une telle critique, le milieu pourra se dire mature.
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