(en arrière) Marilyne Renaud, Émilie Gilbert-Gagnon, Marie Noëlle Lapointe,
Valérie Tremblay et Marie-Ève Gravel
Valérie Tremblay et Marie-Ève Gravel
Aujourd'hui, une petite équipe (dont je fais aussi partie, bien sûr) s'attellera à mettre un terme à la production estivale 2010 en remettant la salle Murdock en état: démontage des gradins, descente dans le costumiers des décors et accessoires et costumes (qui seront lavés à mon retour), et premier bilan.
Dans le faits, en terme d'assistance, nous égalons (enfin, à quelques trente personnes en moins) le nombre de spectateurs de l'an dernier, année plutôt exceptionnelle s'il en est une.
La création de L'Assemblée des femmes fut une belle expérience (toute féminine ou presque): une matière riche en histoire; une distribution compétente et enthousiaste; des concepteurs imaginatifs; une administration efficace; des rires, des rires et encore des rires en répétition; un rythme de travail soutenu; des échéances tenues; un financement adéquat; bref, des conditions de travail fort agréables...
Bien sûr, quelques points auraient été à améliorer: la scénographie aurait pu être (moyens financiers aidant) encore plus flamboyante (de même que les costumes); la promotion aurait pu être (moyens financiers aidant) plus agressive... quoiqu'à ce chapitre, nous n'avons pas à nous plaindre; le texte aurait pu être non seulement remonté à partir de traductions mais aussi réaménagé pour soutenir de meilleure façon l'intérêt du spectateur (notamment en inversant la scène de la baise entre les époux et celle du bon et du mauvais citoyen... et en simplifiant ou explicitant mieux la scène finale); le rythme aurait pu être encore mieux ficelé; le jeu des comédiennes aurait pu, à certaines occasions, être poussé encore plus loin... la mise en scène aurait pu, à quelques moments, leur laisser plus de place.
Bon. Ce spectacle aurait pu être tout autre aussi... et là n'est pas mon objectif! Ainsi donc, je suis fort satisfait, et je remercie toute l'équipe qui m'a accompagné dans cette aventure.
Une chose aussi m'a beaucoup plu dans cette production - plus précisément dans la réception du spectateur - et c'est son côté incisif, grivois, ironique qui a pu bousculer (voire choquer) certains et certaines. Des gens surpris et étonnés, il y en a eu. Des gens gênés et vexés, il y en a eu. Des gens ennuyés et négatifs face à ce spectacle, il y en a eu. Et c'est là, je crois, l'une des fonction du théâtre (même «d'été»!) que de faire réagir...
Voilà... Je ferai, plus tard, une analyse plus détaillée de ce spectacle... Pour l'instant, au boulot!
Dans le faits, en terme d'assistance, nous égalons (enfin, à quelques trente personnes en moins) le nombre de spectateurs de l'an dernier, année plutôt exceptionnelle s'il en est une.
La création de L'Assemblée des femmes fut une belle expérience (toute féminine ou presque): une matière riche en histoire; une distribution compétente et enthousiaste; des concepteurs imaginatifs; une administration efficace; des rires, des rires et encore des rires en répétition; un rythme de travail soutenu; des échéances tenues; un financement adéquat; bref, des conditions de travail fort agréables...
Bien sûr, quelques points auraient été à améliorer: la scénographie aurait pu être (moyens financiers aidant) encore plus flamboyante (de même que les costumes); la promotion aurait pu être (moyens financiers aidant) plus agressive... quoiqu'à ce chapitre, nous n'avons pas à nous plaindre; le texte aurait pu être non seulement remonté à partir de traductions mais aussi réaménagé pour soutenir de meilleure façon l'intérêt du spectateur (notamment en inversant la scène de la baise entre les époux et celle du bon et du mauvais citoyen... et en simplifiant ou explicitant mieux la scène finale); le rythme aurait pu être encore mieux ficelé; le jeu des comédiennes aurait pu, à certaines occasions, être poussé encore plus loin... la mise en scène aurait pu, à quelques moments, leur laisser plus de place.
Bon. Ce spectacle aurait pu être tout autre aussi... et là n'est pas mon objectif! Ainsi donc, je suis fort satisfait, et je remercie toute l'équipe qui m'a accompagné dans cette aventure.
Une chose aussi m'a beaucoup plu dans cette production - plus précisément dans la réception du spectateur - et c'est son côté incisif, grivois, ironique qui a pu bousculer (voire choquer) certains et certaines. Des gens surpris et étonnés, il y en a eu. Des gens gênés et vexés, il y en a eu. Des gens ennuyés et négatifs face à ce spectacle, il y en a eu. Et c'est là, je crois, l'une des fonction du théâtre (même «d'été»!) que de faire réagir...
Voilà... Je ferai, plus tard, une analyse plus détaillée de ce spectacle... Pour l'instant, au boulot!
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