Une photo d'une scène (Le Repas... on y reconnaît donc, en ordre, M. Aubry, Monique, Roger et Morence Aubry) de La Visite... une production, cette fois, de la troupe de théâtre Les Compagnons du 1268, en 2004... (Crédit photo: je ne sais pas, mais elle est tirée de ce site JeanBrouillard.com)
Peu à peu (après la seconde fin de semaine de répétitions), les personnages et les enjeux de La Visite se dessinent et prennent du caractère pour donner un ensemble qui sera cohérent, dynamique... voire étourdissant.
Un ensemble qui pourrait d'ores et déjà passer la rampe... et pourtant, j'espère réussir, en leur compagnie, à faire passer cette comédie légère (ce qui n'est pas un jugement de valeur) à une comédie grinçante, corrosive, étrange (qui, à mon sens, l'est déjà de par sa forme).
La machine s'emballe.
La distribution des personnages (multigenre) est un outil pour y parvenir. L'esthétique devra en être une autre (pour créer des personnages monstrueux... dans le sens de hors de l'ordinaire). Et enfin, l'interprétation (dont j'aimerais lui inculquer un côté expressionniste et l'accentuer) devra lier tout cela.
La visite en cause dans cette pièce ne doit plus être un irritant mais un cauchemar.
La première partie (1955) est placée dans sa totalité. Une ébauche qui ne demande plus qu'à se peaufiner et à se consolider à mesure que les comédiens y trouveront leur aisance. Le début de la seconde partie est placé aussi. Il y a, à mon avis (malgré les souhaits exprimés quelques lignes plus haut), de vrais beaux moments.
Reste à voir l'effet quand le décor aura pris sa forme définitive avec les murs qui réduiront l'espace et augmentera l'effet de présence de chacun des personnages.
Un ensemble qui pourrait d'ores et déjà passer la rampe... et pourtant, j'espère réussir, en leur compagnie, à faire passer cette comédie légère (ce qui n'est pas un jugement de valeur) à une comédie grinçante, corrosive, étrange (qui, à mon sens, l'est déjà de par sa forme).
La machine s'emballe.
La distribution des personnages (multigenre) est un outil pour y parvenir. L'esthétique devra en être une autre (pour créer des personnages monstrueux... dans le sens de hors de l'ordinaire). Et enfin, l'interprétation (dont j'aimerais lui inculquer un côté expressionniste et l'accentuer) devra lier tout cela.
La visite en cause dans cette pièce ne doit plus être un irritant mais un cauchemar.
La première partie (1955) est placée dans sa totalité. Une ébauche qui ne demande plus qu'à se peaufiner et à se consolider à mesure que les comédiens y trouveront leur aisance. Le début de la seconde partie est placé aussi. Il y a, à mon avis (malgré les souhaits exprimés quelques lignes plus haut), de vrais beaux moments.
Reste à voir l'effet quand le décor aura pris sa forme définitive avec les murs qui réduiront l'espace et augmentera l'effet de présence de chacun des personnages.
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